Thursday, March 25, 2010

Activités d'art à l'érablière le 20 mars, 2010

l'Érablière urbaine au parc Beaudet

Musicien et musicienne Métis avec enfants

photo Nicole Fournier

Conteurs Métis Archie Martin et enfants

photo Nicole Fournier

Durant "Jeu banquet live dining", Speranza S. (membre du CA de InTerreArt) et un groupe d'enfants goûtent au boisson d'épinette, en-dessous de la seule épinette au parc Beaudet

photo Nicole Fournier


photo Nicole Fournier

André Eric Létourneau fait des sons avec les enfants avec la sève, une racine et une fourchette

photo Nicole Fournier

Monday, March 22, 2010

Bronwyn Chester writes about maple trees, l'érablière urbaine and Mario Bonenfant

"Island of Trees: Sap and the City, Silver Maple's Available"
from Bronwyn Chester's blog and Gazette column sunday, March 21st, 2010

Maple, growing in the ground, who’s the sweetest to be found?

The signs of spring abound on the island: the suddenly dry air, the deepening blue of sky and heat of sun, the added hours to the day, and the return of the sounds of birds and water. All elements of spring are there, all but the olfactory. Sometimes, walking in my east-of-the-mountain neighbourhood, or on the mountain itself, I’m convinced I smell maple sap, the first perfume of spring, but, then again, my brain may be playing tricks on me by completing, on its own, the sensorial portrait.

Or, maybe not. Perhaps I’m smelling the airborne droplets of maple sap evaporating from the numerous species of sweet-sapped maples in the city.

The lucky Montrealers, living near Parc Beaudet in the borough of St-Laurent, will not experience such olfactory incertitude because bona fide maple vapour is, truly, in the air, thanks to maple fairy, Mario Bonenfant. A filmmaker and stay-at-home father of three, Mario Bonenfant was up all night last Tuesday, drilling holes into 22 of the park’s numerous silver maples. By dawn, when the morning show television cameras arrived to film the unusual urban scene, the sun-warmed trees had begun to yield their sap, plunk, plunk.

By noon, there was enough sap in the bottom of the pails for students in the classe d’acceuil (new Canadians) from École sécondaire St-Laurent to empty into the propane-fired evaporator. The sight of them running to rows of silver maples crossing this rectangular park was a delight. And, you can imagine the delight of the students, all recent arrivals from Mexico, India and Afghanistan, to partake in the miraculous production of sugar from trees.

Bonenfant, who began the Érablière urbaine six years ago, shows the teens how to drill the hole and check the sweetness of the sap with a device called a refractometer, which, when you look through it, indicates the percentage of sugar. Sugar maples register between four and five. These silver maples, however, register around two.

Contrary to popular belief, sugar maples are not the only maples with sap sweet enough to warrant making into syrup, sugar, butter, etc. The black maple, also a native to the Laurentian forest, is the sweetest but, given that it’s a loner, the sugar maple, which likes to grow with its own kind, is far more economical.

In the city, however, where sugar maples aren’t all that common - and where the nature park people don’t tap the ones growing on such sites as Mount Royal, Ile Ste-Hélène or Angrignon Park, for fear of crowds trampling the fragile understory plants - silver maples are a viable alternative. This shaggy-barked titan that predominates in most of the island’s urban parks and on many of its streets, takes its name from the pale green underside of its deeply lobed leaf. When the wind blows, the tree appears to change colour from green to silver.

Why is the silver maple such a common urban tree? It’s beautiful, fast growing, tolerates salt and compacted soil, and – in the days before nurseries – was easily transplanted from the banks and floodplains of the island’s rivers. The silver maples’ drooping fronds give it an aspect resembling the once common American elm, and, in large measure, this softwood maple has replaced the elm both in cities and in the trees’ shared natural habitat.
Today, we plant the silver maple for its ornamental value. Prior to the mid 19th century, however, when “sucre du pays” (as sugar from maples was known) was cheaper than the imported cane sugar, silver, black, red and Manitoba maples, as well as sugar maples, were all tapped for their sap. Some, like the 18th century French botanist, François Michaux, found the sugar of the silver and the red maples, superior to the sugar maple. Perhaps, the First Nations peoples and early Europeans knew their saps the way some of us now know our wines.

Les promenades dans la forêt Montréal
http://foretmontreal.blogspot.com

Friday, March 19, 2010

Érablière Urbaine de Mario Bonenfant - programme le 20 mars, 2010

L'érablière urbaine est un projet de InTerreArt

le programme de samedi le 20 mars 2010 de 13h - 17h:

accueillant 85 enfants des Samedis ensoleillés (14h-16h) et le grand public


Musiciens / Musiciennes et Conteuses / Conteurs Métis Autochtone

- Archie et Pierrette Martin conteur et conteuse Métis met en valeur le lien autochtone et métis avec l'érablière et la Nature.

- Tambour et culture de Métis Robert et Thérèse Plante


Mario Bonenfant - Acériculteur à l’évaporateur



Nouveauté : activités d'arts interdisciplinaires de 2 artistes Québécois: Nicole Fournier et André Eric Létourneau

- Jeu Banquet d'érablière «Live Dining» de l'artiste Nicole Fournier, mettant en valeur les arbres sur le site, l'érable et l'épinette, source de nourriture et lien à nos cultures multiples, avec Dégustations de breuvages Marco: bouleau, érable et épinette et beurre d'érable sur bagette!



La bière d'épinette vient de la culture autochtone; c'est une recette transmise par les autochtones aux européens, qui est devenu une tradition Québécoise. Les familles fesaient leur biere d'épinette chez eux, avec l'arbre épinette sur le terrain. Je parlais avec un monsieur d'environ 70 ans à l'érablière urbaine le 16 mars, l'après-midi de l'ouverture, et il me racontait comment son père fesait de la bière d'épinette dans leur cours à Saint-Laurent. Il s'en rappelait. À l'érablière urbaine, il a un arbre épinette, qui sera un des deux lieux du Jeu Banquet d'érablière Live Dining. Voici ci-haut une image de l'installation, relation avec bière d'épinette avec le seul arbre épinette au parc Beaudet à Saint-Laurent.
(texte de Nicole Fournier)



- André Eric Létourneau présente une courte pièce de théâtre musical qui met en relation les sons de l'environnement biologique avec ceux de l'espace domestiqué de l'érablière


Atelier d'éducation de l'Éco-quartier St-Laurent, portant sur l'alimentation et les changements climatiques : « l'alimentation et le transport dans le monde », avec un kiosque d'information sur la consommation responsable, où il sera possible d'acheter du café et du chocolat, biologiques et équitables.


Animation et éducation écologique clubs 4H

Vente de tire sur la neige 2$

Vente de produit d'érables et de breuvages Marco: bouleau, érable et épinette

Friday, March 5, 2010

Érablière Urbaine de Mario Bonenfant

Erabliere Urbaine - un projet innovateur de Mario Bonenfant, un nouveau projet InTerreArt
/ an innovative projet by Mario Bonenfant, a new InTerreArt project

en collaboration avec SODAR
Parc Molson - Rosemont Petite-Patrie
Le samedi 6 mars 2010 de 13h-16h30

Parc Beaudet - Arrondissement St-Laurent (metro du Collège)
Du 18 au 27 mars, 2010 les jeudis, vendredis et les samedis après-midi


Érablière urbaine - un nouveau projet InTerreArt

En décembre 2009, Mario Bonenfant propose à InTerreArt son projet l’Érablière Urbaine. InTerreArt accepte, en voyant une adaptation du concept de "Live Dining" dans la réalisation du projet inovateur de l"Érablière urbaine, avec la récolte de sèves, fabrication de syrop et dîner sur place. Live Dining est un concept de Nicole Fournier, soutenu par InTerreArt, dont l'idée originale s'agit de créer une installation-cuisine-salle-à-manger, intégrée dans une location extérieure de plantes et d'arbres. Dans ce context, le public participe à récolter, préparer et à cuisiner de la nourriture et à diner sur place. Live Dining s'agit de valoriser des écosytemes et lieux de la Nature, et d'agir directement sur l'écosystème des terrains vagues pour y créer un lieu d’agriculture écologique et, ou de permaculture.

La SODER et InTerreArt vous invitent à fêter l’érable le samedi 6 mars au parc Molson de 13 h à 16 h 30. Lors de cette occasion, plusieurs érables argentés du parc seront entaillés. Pour célébrer la coutume ancestrale, des activités éducatives et des dégustations gratuites feront le bonheur des petits et grands.

Des sentiers Nature aux abords du parc révéleront les multiples facettes de l’érable. Le club 4H assurera l’animation d’un rallye-identification des arbres en hiver et d’une présentation sur l’utilisation du bois. Un tipi sera érigé au centre du parc, au plaisir des plus curieux qui voudront s’y aventurer. Non loin, un trappeur présentera peaux d’ours et mousquets. La tire d’érable offert au coût de 1,50 $ délectera le palais de plus d’un. Ce sera aussi le moment de se régaler des produits dérivés de l’érable, beurre d’érable, bière d’érable, miettons à l’érable… Cet événement est une initiative citoyenne de Mario Bonenfant qui travaille depuis 6 ans à partager sa passion de l’acériculture. www.soder.qc.ca

nouvelles sur le site du CREMTL - Conseil régional del'environnement de Montréal

video de Mario Bonenfant au parc Molson à Montréal

Les Ateliers Performances ACE avec la communauté Place Benoît -10 juillet 2011 au 18 octobre 2012

Les Ateliers Performances ACE avec la communauté Place Benoît -10 juillet 2011 au 18 octobre 2012
En partenariat avec le Centre Communautaire Bon Courage de Place Benoît (CCBC) - des oeuvres performatives misant sur le processus, depuis 2011. Ici dans l'action durant un des Ateliers Performances ACE (Art-Communautés-Environnement) . Voici des résidents de tous les ages de Place Benoît en action dans le processus de création avec Nicole Fournier, par exemples : d'avoir dessiner / composer avec des branches, enlever le gazon, pour la création d'un jardin artistique de biodiversité nourricière......